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Comment l'Évangile nous libère de l'Oppression psychologique
Christianisme est souvent péjorativement dénommé religion « sale pourri pécheur ». Nos détracteurs diront souvent quelque chose comme ceci :
- "Les chrétiens ont tendance à être tellement culpabilisé. Ils se sentent qu'ils doivent traverser la vie se dégrader afin de gagner l'approbation de Dieu. Je trouve ça très déprimant. Au lieu de cela, je veux une spiritualité qui est positive, libérant et celui qui va me faire sentent bien à propos de moi. »
Ce type de réaction est très compréhensible. Nous voulons tous être heureux, et il pourrait sembler que l'Évangile est une rue à sens unique dans un village médiéval où l'Inquisition est diaboliquement retranchée, cherchant à essuyer chaque sourire. Bien qu'il soit difficile à vendre simplement prétendre que l'Évangile nous rendra libres de tant de tourments de la vie, une histoire peut s'avérer utile.
Pour les premières années que j'enseignais la Bible et théologie à l' école de New York
Dévastée par ces actes d'accusation, j'ai voulu disparaître et avoir les bâtiments de New York imploser au-dessus de ma tête et m'engloutir sans un signe. Plusieurs fois, j'ai pensé de l'appel de mon école de dire, "vous trouvez quelqu'un d'autre. Je ne suis pas votre homme." Mais peu à peu, l'Évangile a commencé à prendre racine.
Dans ma longue lutte pré-chrétienne pour atteindre une idée de l'importance et la valeur, je serait parer à la honte et l'auto-outrage par des affirmations positives: « je suis une bonne personne ; non, je suis une personne très supérieure. Je suis ___, ___, ___ et plus encore. Je suis une personne unique!" Il n'y n'avait aucun fin pour les superlatifs. En fait, j'étais toujours inventer neufs — tout ce que je devais dire moi-même pour garder la honte à distance. Toutefois, ces suffisaient jamais, et si je devais toujours vers le haut les superlatifs pour surmonter le sentiment omniprésent de honte.
Cependant, en tant que chrétien, j'ai appris que c'était mal de se livrer à cette forme de masturbation. Mais je devais faire quelque chose pour les flèches de poison de mes propres démons. J'avais besoin de me montrer, et maintenant j'ai eu un nouveau véhicule permettant de le faire. J'ai serait excellent dans la spiritualité ! Je prouverais, au moins à moi-même, que j'étais digne de la grâce divine.
J'ai moi-même rassuré que je n'étais plus digne du Salut que les autres. J'ai été plus spirituelle ; J'avais choisi de Dieu parce que je n'étais pas aussi charnelle que 90 % de l'humanité. J'ai eu la finesse d'esprit pour reconnaître la valeur dépassant les choses de Dieu et j'ai eu un grand destin, non seulement dans le ciel, comme tous les autres chrétiens, mais j'ai conduirait également la manière ici.
Cependant, Dieu nous aime trop pour nous permettre de continuer dans nos délires. Il a fermé ma main à tous mes rêves d'accomplissement spirituel. Encore plus difficile à supporter, j'ai commencé à voir ma propre pauvreté d'esprit, mon indignité totale. Mes prélèvements ont été submergés, et les démons de la honte et le mépris-self est venu rugissant de retour. J'ai cherché fébrilement à reconstruire des prélèvements avec bonnes oeuvres--tout ce qui me disait, « You 're OK! » Mes tourments, j'ai commencé à lire la Bible avec nouveaux yeux pleins de larmes, dans l'espoir de trouver un Dieu caché dans ses pages qui serait beaucoup plus miséricordieux que j'ai jamais osé espérer.
Jésus dit une parabole sur deux hommes qui sont entrés dans le temple pour prier l'un était pharisien sûr de lui, l'autre un pécheur cassé qui n'avaient pas la confiance de même chercher au ciel (Luc 18:9-14). J'étais devenu ce pécheur cassé, maintenant sans défense contre la rage interne. J'avais été dépouillé de confiance et aucun sens qu'il y avait quelque chose sur moi qui mériterait même un coup de œil d'un Dieu Saint.
Paradoxalement, ce fut le début de la liberté psychologique. J'avais été mise à nu de toutes mes défenses et pour la première fois dans ma vie, trouvé peu à peu que j'ai n'a pas besoin d'eux. Je pouvais enfin lâcher mon misérables des feuilles de vigne, parce que je commençais à connaître un Dieu qui voulait me vêtir avec son pardon, sa justice et sa sanctification (1 Cor. 01:29-30). Je commençais à apprendre que j'étais complet en lui (col. 2:9-10), non pas à cause de qui je suis, mais à cause de qui il est.
Il m'a fallu un certain temps pour apprendre ces leçons. La Bible a été ma fondation de la pensée et la vie, mais il a semblé dire de telles choses contradictoires. D'une part, il m'a assuré que le Salut, avec tout le reste que j'ai eu besoin, est tout à fait gratuitement. Mais ensuite j'ai fait observer que d'autres versets semblent dire que les « Dons » de Dieu exigeait également certains labor de ma part. Ces « contradictions » devaient d'abord être résolu avant je pouvais décisive face à mes démons.
Cependant lentement, ce jour-là n'est venu. Maintenant, quand mes démons m'accusent de mes échecs et de la dignité, je suis prêt pour eux: « Satan, tu as raison ! Je suis tout à fait indigne de servir Dieu, et encore moins à enseigner. Je ne mérite pas la moindre chose de lui. Mais j'ai un incroyable Dieu qui est tout pour moi, ma justice, ma sanctification, et tout ce que j'ai besoin. Il m'aime d'un amour éternel et ne me quittera jamais. C'est lui qui m'a donné le privilège de le servir en enseignant. D'ailleurs, je suis tellement content que j'ai été rappelé de mon indignité, parce que cela vient de m'invite à être reconnaissants et me donne juste envie de chanter ses louanges."
Comprendre les vérités de l'écriture devient une source de paix (col. 2:1-4). Je suis maintenant débarrassé de certains bagages qui avaient été trop lourd à porter. Comme Jésus a dit: « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes mes disciples. Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libres"(John 08:31-32). La vérité a set me free — exempts de la nécessité de défendre moi-même, exempt de mal à prouver moi-même, exempt de la honte et le mépris de soi et de libérer de la peur de l'échec. Eh bien, pas tout à fait libre, mais assez libre.
Toutefois, cette liberté n'aurait jamais vu sans voir les profondeurs de mon indignité. Si je n'avais pas venir à ce point écrasant, j'aurait jamais découverte vraie grâce et sans recevoir cette grâce incroyable, j'ai jamais aurait trouvé la confiance à mettre de côté toutes les luttes internes et d'enfin accepter le fait que je suis un pécheur totale sauvé par la grâce.
Pas de tout le monde l'expérience est aussi intense que le mien était, mais nous avons tous une conscience qui nous dit ce que nous ne voulons pas entendre, et nous devons tous tenter de beat it down d'une manière ou d'une autre (Romains 01:18-21). Nous aspirons tous à prouver à nous-mêmes et à recourir à l'aveuglement pour y parvenir.
Ce n'est pas simplement un biblique point de vue ; Il s'agit de l'opinion dominante de la psychologie. Shelley Taylor a écrit :
Comme nous l'avons vu, les gens sont polarisés positivement dans leur évaluation d'eux-mêmes et de leur capacité à contrôler ce qui se passait autour d'eux, ainsi qu'à leur point de vue de l'avenir. L'existence généralisée de ces biais et la facilité avec laquelle ils peuvent être documentées suggère qu'elles sont normales. [1] [1] 46
, Ils pourraient être "normales", mais la dépendance sur self-delusions, le produit de notre propre justice, produit en fin de compte une perte de souplesse mentale, pas la liberté et de joie. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, la route vers la liberté nous oblige à un voyage une leçon d'humilité dans la « vallée de l'ombre de la mort » (Psaume 23), où notre vieille armure et défenses sont étés éjectés afin que nous puissions être re-clothed en splendeur. Pas étonnant que Jésus nous dit, "Fou tout le monde qui exalte lui-même sera abaissé, et quiconque s'abaissera sera élevé" (Luc 18:14).
Alors comment venons-nous à cet endroit d'assurance de la grâce de Dieu dans le visage de notre brisure spirituelle? Il n'est pas possible sur notre propre. Jésus avait enseigné énergiquement contre l'idée de self-salvation (mat. 19:26 ; John 3:3 ; John 06:44). Cependant, il a fait il est tout aussi clair que la croissance spirituelle est également possible sans sa participation (Jean 15:4-5). Sachant cela, nous devons faire confiance à effectuer pour nous l'humainement impossible et à crier pour son intervention.
Désespoir spirituel est une lentille qui apporte la grâce dans la mise au point fine. C'est ce deuil qui aiguise les yeux sur la réalité de la grâce (mat. 5:3-4 ; Psaume 25: 8-9 ; 14-15). Mais que se passe-t-il si nous ne voyons pas notre indigence ? Nous devons embrasser la prière de David :
Chercher moi, Ô Dieu et connais mon cœur ; me tester et savoir mes pensées anxieuses. Voir s'il y a aucune manière offensive en moi et conduis-moi sur la voie éternelle (Psaume 139:23-24).
Lui faire confiance dans le présent. Il a promis de nous révéler nos insuffisances spirituelles comme il le faisait aussi pour les églises de l' Apocalypse:
J'appuie sur l'objectif de gagner le prix pour lequel Dieu a appelé moi vers le ciel en Jésus-Christ. Tous ceux qui sont matures prenne une telle vision des choses. Et si, sur certains pointez vous pensent différemment, qui trop Dieu fera clair pour vous. Seulement nous devons vivre jusqu'à ce que nous avons déjà atteint (Philip. 03:14-16).
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